Patrimoine
Vous souhaitez investir pour préparer votre retraite et vous générer des revenus complémentaires ? Et ce projet d’investissement, vous le souhaiteriez responsable, en réponse à un besoin sociétal ?
Investir dans une résidence gérée permet de concilier ces deux dimensions : vous achetez un logement dans une résidence gérée pour seniors ou étudiants, vous contribuez à apporter une réponse concrète à une problématique de notre société actuelle, tout en vous constituant des revenus complémentaires sécurisés pour votre retraite avec le statut LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel).
Qu’est-ce qu’une résidence dite « gérée » ?
Il s’agit d’un ensemble d’habitations constitué de logements permettant aux occupants autonomes de bénéficier de services spécifiques : logements meublés, salle de travail / espaces de co-working, laverie, piscine, restauration, coiffure, animations…Ces résidences sont pensées, équipées et construites pour répondre aux besoins spécifiques des personnes qu’elles hébergent.
Il existe plusieurs types de résidences gérées mais concentrons-nous sur les deux qui apportent les meilleures réponses aux enjeux sociétaux : les résidences services seniors et les résidences étudiants.
Les résidences services seniors et le marché exponentiel de la Silver Economy
Les Résidences Seniors sont une solution parfaitement adaptée à l’évolution du marché de la “Silver Economy” et de la société.
La France est aujourd’hui confrontée à l’accroissement très important du nombre de seniors, et beaucoup d’entre eux souhaitent vivre le plus longtemps possible chez eux. Il y a donc un véritable enjeu à fournir une offre de logements compatible avec ce souhait de vivre chez soi, en toute autonomie, tout en bénéficiant d’espaces partagés dans lesquels sont mis en œuvre des activités renforçant le lien social, pour tous les habitants, et celles de prévention des dépendances.
Les résidences seniors ne sont pas médicalisées et s’adressent donc à des seniors autonomes et fragilisés qui viennent y vivre seul ou en couple, de façon permanente ou temporaire.
Un marché exponentiel
Les seniors représentent une population de plus en plus nombreuse. Avec l’augmentation de l’espérance de vie (+1 an tous les 4 ans) et l’arrivée à l’âge de la retraite des baby-boomers, le logement des seniors est devenu un réel enjeu sociétal.
Quelques chiffres :
Actuellement la France compte plus de 7500 EHPAD (Etablissements Hospitaliers pour Personnes Agées Dépendantes), contre 2300 résidences autonomie et plus de 700 résidences seniors ! Il existe un réel manque dans l’offre d’habitat résidentiel intermédiaire pour les personnes âgées en quête d’une solution conçue pour leur faciliter la vie.
Le marché des étudiants : encore et toujours une forte demande locative !
Les étudiants d’aujourd’hui poursuivent des cursus de plus en plus longs et optent pour plus de mobilité.
Les résidences étudiants proposent des logements équipés et meublés adaptés aux besoins des jeunes locataires. Un ensemble de prestations sont proposées : laveries, espaces de coworking, espace restauration, internet haut débit…
Un enjeu sociétal
Le nombre d’étudiants en France ne cesse d’augmenter (+50 000 étudiants/an en moyenne) mais le parc de logements dédiés reste largement insuffisant. Chaque année, près de 1.5 millions de jeunes scolarisés sont à la recherche d’un logement. On estime aujourd’hui le parc de logements étudiants à 279 000 places (CROUS et logements privés), ce qui reste très inférieur à la demande.
Selon les prévisions de l’INSEE, le nombre d’étudiants pourrait augmenter de 9 % au cours de la prochaine décennie.
La demande :
28% des étudiants recherchent un logement en Ile-de-France. Le top 5 des villes les plus demandées se poursuit avec Lyon (8 %), Bordeaux (4,9 %), Nantes (3,9 %) et Toulouse (3,7 %). A noter que 28 % des étudiants ciblent leur recherche de logement en Ile-de-France.
Les avantages d’un investissement en résidence étudiants :
Les résidences services seniors et les résidences étudiants représentent une opportunité pour les investisseurs grâce aux avantages fiscaux :
Dispositif Censi-Bouvard :
Statut LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel) :
Les avantages d’un investissement en résidences gérées :
Partenaire privilégié de Comment Placer Mon Argent, Nexity propose aux investisseurs des logements en résidences services seniors et résidences étudiants, partout en France. Son offre s’appuie sur l’expertise de ses 2 filiales Domitys et Nexity Studéa, gestionnaires leaders sur le marché des résidences seniors et des résidences étudiants.
Domitys en 3 chiffres-clés :
Nexity Studéa en 3 chiffres-clés :
Rencontrons-nous dès à présent pour avancer sur votre projet d’investissement à fort impact sociétal ! |
||||
Les règles de succession en France sont sur le point d’être assouplies. Ce sont en tout cas les perspectives induites par la mission parlementaire du secrétaire d’Etat Gabriel Attal.
A terme, les particuliers désireux d’ouvrir leur patrimoine seraient invités plus largement à le faire, par le biais notamment de causes philanthropiques.
Le point sur la succession en FranceEn France pays des droits de l’Homme, il n’est pas permis de déshériter ses enfants. C’est du moins ce que prévoit le Code Civil, par l’entremise d’une « réserve héréditaire » qui prévoit une partition équitable de l’héritage en fonction du nombre d’enfants du foyer.
Mais il existe aussi une autre réserve prévue par le Code Civil, ou « quotité disponible ». Et c’est précisément cette partie de l’héritage qui peut être librement affectée aux proches, ou encore à une association selon les dernières volontés du défunt.
Actuellement, la règle stipule que s’il existe un enfant, il pourra bénéficier de la moitié de l’héritage. A partir de trois enfants, les trois quarts de l’héritage leur sont réservés.
Cette règle pourrait donc être assouplie, sans pour autant chercher à « chambouler le droit français relatif aux successions ». Ainsi, le secrétaire d’Etat Gabriel Attal confirme dans un entretien récent « ne pas vouloir faire de cette réforme un prétexte à déshériter les ayants droit ».
L’idée serait simplement de permettre aux grosses fortunes de léguer une partie de leur patrimoine aux associations d’intérêt général.
Développer une philanthropie à la françaiseGabriel Attal développe sa pensée en citant au passage le modèle américain en vigueur, pour tout ce qui concerne la succession de riches personnalités. Plusieurs pistes sont explorées pour développer en France une véritable « culture du don », par le biais notamment du modèle du giving pledge.
Ce système permet, aux Etats-Unis, de dédier une partie de sa fortune à la cause de son choix.
Pour consulter les résultats du rapport parlementaire sur la question, il faudra patienter jusqu’au mois de mai.
En attendant, des personnalités comme le dirigeant d’entreprise Xavier Niel se montrent très intéressées à l’idée de procéder à des legs en accord avec un assouplissement prochain des règles de succession, et dans le cadre d’actes philanthropiques.
|
||||
Vous disposez d’un patrimoine financier et / ou immobilier et vous souhaitez l’optimiser pour le transmettre à vos enfants ou aux ayants droit ? Pour vous aider dans cette démarche, nous vous proposons 4 conseils d’experts. Suivez le guide !
Une balance entre patrimoine immobilier et assurance-vieDe nombreux accidents peuvent survenir au cours d’une vie : c’est pourquoi il est nécessaire de prendre des précautions sages.
Vous pouvez par exemple choisir des produits spécifiques(comme l’assurance-vie) pour faire face aux situations relevant de l’invalidité ou même du décès : de cette façon, vos proches n’auront pas à se préoccuper des dépenses financières engendrées par ces aléas.
Du côté de l’investissement immobilier, vous vous assurez d’avoir des revenus supplémentaires tout en ayant un bien qui peut être réversible au conjoint(e) survivant(e) et plus tard aux ayants droits. L’avantage de ce placement est qu’il est préservé des fluctuations boursières.
Un patrimoine clair qui est équitable pour chaque héritier / bénéficiaireLorsque l’on constitue un patrimoine, qu’il soit financier ou immobilier, il est important de mesurer l’équité entre chaque bénéficiaire.
Si l’on prend le cas d’une famille recomposée ou dans le cas d’un divorce, des conflits peuvent survenir. Ces événements ont des impacts notables sur le passage des biens mais aussi sur le calcul des prestations compensatoires.
Les solutions de crédit pour investirSi vos enfants choisissent de faire des études supérieures, alors il faudra penser à une solution de financement. Pour anticiper ces dépenses, vous pouvez soit puiser dans votre capital d’assurance vie, soit emprunter.
Le choix d’une solution plutôt que d’une autre dépend des taux d’intérêts appliqués. Si par exemple le taux d’intérêt d’un prêt est inférieur à ce que vous rapporte votre assurance vie, alors il vaudra mieux emprunter.
Il en va de même pour l’achat d’un bien immobilier : il suffit de se pencher sur les taux d’intérêts appliqués sur le marché. Bien souvent, emprunter permet de faire des économies sur le long terme limitant les intérêts perdus sur un capital investi.
Limitez les droits de successionEnfin, vous avez la possibilité de constituer un patrimoine qui va vous permettre de transmettre un capital ou un bien sur le court ou le moyen terme. C’est par exemple le cas de la donation. Vous conservez cependant l’usufruit qui sera remis au conjoint survivant.
Vous avez maintenant des conseils à disposition pour bien mener votre patrimoine : à vous d’opter pour des choix judicieux afin de le transmettre dans les règles de l’art !
|
||||
On définit la succession comme la transmission d’un patrimoine au profit de ses héritiers. Cette succession peut se faire de plusieurs façons : soit de son vivant avec une donation, soit après le décès par l’intermédiaire d’un testament écrit.
Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous apportons des éclaircissements sur chacune de ces solutions.
La donation pour transmettre son héritage de son vivant
Comme son nom l’indique, la donation permet de donner son héritage ou une partie de celui-ci de son vivant.
Cette solution s’effectue chez le notaire et doit répondre à une règle bien précise, à savoir ne pas dépasser une donation de 100 000 euros pour chaque bénéficiaire et ce, tous les 15 ans.
Le donataire peut donner ce qu’il veut (soit des biens physiques, soit un patrimoine financier) à qui il veut. En choisissant cette solution, le donataire bénéficie d’une exonération d’impôt et évite des frais de succession (à hauteur de 5 à 45% du montant du patrimoine).
Choisir et identifier ses héritiers via le testament
L’autre façon de léguer son héritage est le testament : il s’agit d’un document écrit dont l’objectif est d’informer vos proches de vos dernières volontés.
A la différence d’une donation, le testament s’applique dès le décès de la personne concernée, ce qui vous permet de déroger les règles relatives à la transmission comme vous le souhaitez à la seule condition de ne pas déshériter vos enfants.
Comment est gérée la succession s’il n’y a pas de testament ?
S’il n’y a pas eu de donation lors de votre vivant et si vous n’avez pas laissé de testament, alors c’est le code civil qui s’applique. Celui-ci définit un classement précis des héritiers.
Les premiers héritiers sont les descendants directs : les enfants ainsi que les petits enfants. Dans un second temps, ce sont les ascendants : les parents ainsi que les frères et sœurs ainsi que leurs enfants. On note un troisième ordre qui est celui des ascendants ordinaires (grands parents et arrière-grands-parents).
Enfin, le quatrième ordre concerne les personnes que l’on appelle les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins et leurs enfants).
Ainsi, le mode de succession dépend de la façon dont vous souhaitez léguer votre héritage. Dans tous les cas, un respect strict de la loi sera être appliqué : pour faire les choses dans les règles de l’art, il est toujours conseillé de faire appel à un notaire.
|
||||
L’année 2018 marque la révolution fiscale promise par le président de la République Emmanuel Macron mais pas seulement : en effet, l’essor des cryptomonnaies telles que le Bitcoin a fait prendre au secteur de la gestion du patrimoine un véritable virage.
La cryptomonnaie Aujourd’huiPendant plusieurs mois, médias et investisseurs ne cessaient de parler du Bitcoin, monnaie virtuelle crée en 2009 par Satoshi Nakamoto et qui, ayant flirté avec les 20 000 € fin 2017, a vu son cours s’effondrer jusqu’à atteindre environ 7000€.
Suite à ces variations importantes, les groupes d’investisseurs ainsi que les grandes instances financières ont été contraintes de reconnaître que les cryptomonnaies avaient de la valeur et que ces dernières jouaient un rôle important dans l’économie.
Mais qu’en est-il des cryptomonnaies aujourd’hui ? La monnaie virtuelle reste-t-elle toujours un bon investissement et est-il intéressant de le prendre en compte dans la gestion de son patrimoine ?
Bitcoin, Ripple, Token ou encore Ethereum, ce qu’il faut savoir avant d’investirDéfinition : une cryptomonnaie est une monnaie virtuelle qui est stockée dans un porte-monnaie électronique sécurisé, tout comme un compte en ligne.
Principe : disposer d’une cryptomonnaie a pour intérêt de réaliser des opérations financières sans avoir à passer par une devise traditionnelle.
Alors que des pays comme le Japon ou les Etats-Unis ont reconnu officiellement la cryptomonnaie comme valeur d’échange, il n’en est rien pour la France.
Toutefois, le succès des différentes monnaies virtuelles est tel que la demande d’intégration dans la gestion d’actifs de la part des épargnants ainsi que des fonds de placement est de plus en plus forte.
Autre élément important à savoir, les cryptomonnaies sont généralement très volatiles et présentent donc un risque important si l’on investit beaucoup et que sa valeur chute mais à l’inverse, si celle-ci est au plus haut, les gains peuvent être conséquents.
Notre conseilSi vous souhaitez avoir une idée de l’écosystème de la monnaie virtuelle sans prendre beaucoup de risques, vous pouvez investir, dans un premier temps, une petite somme et potentiellement revoir votre budget en fonction des fluctuations.
Qu’en est-il concernant la part à adopter dans la gestion d’actifs ?L’investissement dans les monnaies cryptées doit rester toutefois minime car, au-delà de sa volatilité et de la sécurité appliquée, le risque de piratage n’est jamais nul.
Toutefois, malgré des montants dérobés importants, la blockchain, système sur lequel se basent les protocoles, n’a jusqu’alors jamais permis leurs piratages.
Aujourd’hui le SEC (Securities and Exchange Commission), organisme fédéral américain de la réglementation et du contrôle des marchés financier, reconnaît le Token comme une action et le soumet donc aux règles appliquées par le marché.
D’ici quelques années, l’Europe sera également impactée par ces changements, notamment en raison du fort intérêt présents chez les épargnants mais aussi chez les start-ups spécialisées en monnaie virtuelle.
Cryptomonnaie et fiscalité : comment cela fonctionne ?La fiscalité appliquée sur les plus-values réalisées sur les cryptomonnaies a été assouplie le 26 avril dernier, sous la décision du Conseil d’Etat.
Par ailleurs, les plus-values ne dépendent plus du régime des BNC (Bénéfices Non-commerciaux), mais à celui des biens meubles.
En quelques chiffresInitialement le taux pouvait atteindre les 45% en fonction de la tranche d’imposition, sans oublier d’ajouter les prélèvements sociaux (15,5% en 2017 puis 17,2% en 2018).
Aujourd’hui, ces plus-values seront taxées à hauteur unique : 19%. Autre chose à savoir sur le régime de biens meubles : un abattement d’une durée de 3 ans est proposé.
Après un délai de 22 ans de détention, est acquise une exonération des plus-values au titre de l’impôt sur le revenu à hauteur de 5%.
De même, une exonération totale d’impôt peut être appliquée dans le cas où la valeur de revente n’excède pas 5000€.
Bien évidemment, le fisc reste particulièrement vigilant sur le sujet en rendant impossible le cumul de plusieurs « petites » transactions sans que soit revue la qualification de l’activité autour de la cryptomonnaie ainsi que le régime appliqué (retour au régime des Bien Industriels et Commerciaux, bien moins avantageux).
Ainsi, pour une activité principale autour de la cryptomonnaie, le régime appliqué sera celui des BIC.
En revanche, pour les débutants et petits investisseurs ayant gagné des montants non négligeables grâce à leurs opérations financières, la question de la fiscalité et de son statut doit être posée.
Convertir de la monnaie virtuelle en monnaie réelle : c’est possible ?L’opération de conversion de la monnaie virtuelle est très simple à réaliser.
Toutefois il est important de prendre en compte la question de la fiscalité avant d’investir.
Si votre patrimoine est peu conséquent, il est préférable d’écarter la question de l’investissement dans la cryptomonnaie afin d’éviter les dommages collatéraux pouvant affecter vos biens non virtuels.
Vous pouvez toutefois faire appel à un conseiller financier spécialisé qui pourra vous aiguiller dans vos démarches.
Pour les patrimoines conséquents et variés incluant par exemple un plan épargne logement, des fonds communs de placement et/ou une assurance-vie, l’investissement est envisageable mais en ayant conscience des risques énoncés précédemment.
|